RUSSIE – UKRAINE : LA CRAINTE DE L\’APOCALYPSE EN EUROPE OU PLUTOT LA FIN DE LA DICTATURE OCCIDENTALE

Le président Ukrainien qui craint l’« apocalypse » en Europe si le monde ne parvient pas à stopper Vladimir Poutine est « désemparé » de la situation de son pays. Malgré son soutient par l’union européenne, son challenge comme « président de guerre », sa diffusion chaque jour des messages vidéos à l’attention de ses compatriotes, M. Zelensky est resté seul, isolé et n’a aucune chance de survivre face aux frappes aériennes russes. Il n’a pas vite compris qu’il était « manipulé » par l’UE et les USA pour leurs propres intérêts, pas pour les intérêts de son peuple ukrainien.

Dites-moi, et j’attendrai ce moment …

Ce language d’un président déçu et abandonné à la dernière minute, exprime la défaite. Zelensky ne sait ni prendre à droite ni à gauche. Et comme les promesses ne tiennent plus, une chose est sûre, il cherche une « garantie » de la part de la Russie avant de se rendre. Ce serait une piste de solution pour un homme qui pense tout le temps à la vie de ses hommes soldats, aux membres de sa famille et qui ne souhaite pas voir un grand nombre d’Ukrainiens tués.

Au nom de l’humanité, la seule personne qui peut accepter cette doléance du président Ukrainien au profit de toute la nation ukrainienne, c’est le président Vladimir Poutine.

Lire aussi : La guerre en Ukraine : La Russie s\’annonce comme première puissance militaire mondiale

M. le président de la Russie, Vladimir Poutine

Le président Zelensky n’a nulle part où aller et ne souhaite pas voir son peuple se faire massacrer par ton armée à cause d’une erreur causée par son « manipulateur égocentrique ». Il demande un « Cessez le feu » et souhaite un « dialogue sans conditions » pour sauver son peuple. S’il vous plait, accorde-lui ce qu’il demande et n’abandonne pas à ton tour le peuple Ukrainien terrorisé à leur sort. Pardonne-les et accorde la chance de les écouter pour trouver un « compromis ». Même si l’occident ne l’admet pas directement ; l’heure est venue de « céder » la place de supériorité à quelqu’un d’autre, le roi du Nord de la grande Russie.

Didier SANGARA pour LNL News